Ismail on BI & Data Quality

Dans un monde aussi compétitif que celui d’aujourd’hui, les organisations se doivent d’acquérir constamment un avantage stratégique qui leur donne une longueur d’avance sur leurs concurrents et qui leurs permettent de faire plus de profit.

Aussi, cette rentabilité accrue passe par une meilleure prise de décision, fruit de la connaissance tirée depuis l’environnement de l’organisation, un environnement qui ne cesse de s’enrichir chaque jour avec de plus en plus de données.

C’est donc un défi majeur pour les organisations de l’ère numérique que de transformer leurs données en connaissances apte à générer du profit.

Qu’est ce que l’informatique décisionnelle ?

Il est très difficile voire impossible de présenter l’informatique décisionnelle de façon stricte, précise et exhaustive, tant le sujet est vaste, relativement récent et sa littérature et son vocabulaire recouvrent des termes et des concepts souvent  différents voire contradictoires selon le contexteL’Informatique Décisionnelle (ID) ou Business Intelligence (BI) n’est ni un produit ni un système, il s’agit plutôt d’une architecture et d’une collection d’applications intégrées, aussi bien d’aide à la décision que de bases de données, qui procurent aux acteurs concernés un accès facile aux données concernant l’activité de l’entreprise.

Selon le TDWI , l’Informatique Décisionnelle est un ensemble de processus, de technologies et d’outils dont nous avons besoin pour transformer les données en informations, les informations en connaissances et la connaissance en plans d’actions qui conduisent l’organisation à générer du profit.

L’ID ambitionne donc de transformer la masse de données détenu par l’organisation en information  puis en connaissances et intelligence collective apte à « mettre en perspective les informations acquises en les jaugeant à l’aune aussi bien de l’expérience passée que des perspectives futures de développement »,  et d’apporter ainsi une valeur à l’organisation, et ce en combinant compétence humaine, processus et technologies. Ceci passe par la mise en place « d’une seule version de la vérité » au niveau de toute l’organisation ; la fourniture d’informations, selon le niveau de granularité  requis et l’apport des capacités nécessaires à l’analyse de ces informations.